Aujourd’hui je me sentais inspirée par la question des doutes. Les doutes qui vont et viennent, ceux auxquels on ne s’attendait pas, ceux qu’on avait dépassés, ceux qu’on redoutait, ceux qui reviennent sous une autre forme ou à un autre niveau… Et puis me voilà devant mon écran devant la publication d’une amie sur le cycle féminin… Et là je me dis que le cycle féminin et les doutes, et ben c’est carrément liés, et que du coup ça vaut le coup d’en parler un peu.
Parce que oui, nous mesdames, sommes liées au cycle lunaire et traversons chaque mois différentes phases au cours desquelles notre énergie varie et notre mental s’exprime d’une manière qui lui est toute particulière. Tantôt nous voilà telle la jeune fille, en mode full action et un mental plutôt high. Tantôt voilà que notre énergie est partie faire un tour et qu’au delà de ce besoin de repos de vieille femme, notre monde inconscient nous ouvre ses portes et fait remonter nos ombres, entraînant notre mental vers des sommets de ruminations où les doutes s’expriment avec une virulence toute particulière…
Et c’est rebelotte chaque mois, parce que nous avons cette chance. Et oui, je pense que c’est une véritable chance, vraiment vraiment. Un nettoyage. Un renouveau. Vie-mort-vie… Toujours. Alors notre cycle peut nous guider. Vers une reconnexion à notre corps, à notre rythme naturel, à nos émotions, à nos aspirations. Comme une boussole, il nous permet de savoir où nous sommes, quels sont nos besoins, quelles sont nos forces…
Pour celles qui souhaitent explorer les pouvoirs de leur cycle féminin et se reconnecter à leur féminité, je les invite à aller faire un petit tour du côté du programme mis en lien ci-dessous (c’est un mois d’accompagnement avec Lou pour comprendre, expérimenter et optimiser chaque phase du cycle). Et même que si vous allez jusqu’à la fin de l’article vous trouverez un code pour obtenir une réduction lors de votre inscription.
J’ai la chance de faire une petite incursion dans le programme pour vous parler du critique intérieur, ce fameux mental qui s’emballe… Et s’il s’exprime de manière plus ou moins virulente en fonction de la phase du cycle, les ingrédients pour l’amadouer sont toujours identiques : revenir ICI ET MAINTENANT et OBSERVER ce qui se passe SANS JUGEMENT (sans jugement, ça veut dire même pas un petit « rhooooo t’es vraiment nulle comme fille » ou « putain mais t’en es encore là pôv naze »…). Et j’accompagne tout ça d’un petit cocktail de fleurs de Bach (elles sont merveilleuses, je les aime ! Simplicité, autonomie, écoute de soi…). Allez les meufs, c’est le moment d’être indulgente avec vous même. D’ailleurs vous le méritez !
Alors une précision : indulgente ça ne veut pas dire « ah ben c’est pas de ma faute, c’est la faute à mon cycle » (si vous vous dites ça, vous pouvez direct prendre Willow en fleurs de Bach).
Indulgente ça veut dire : regarder ce qui se passe, voir que c’est pas ok, accepter que c’est là même si c’est pas ok (généralement c’est là que ça gratte au niveau de l’ego), voir ce qu’on veut à la place, identifier la 1ère chose qui est en notre pouvoir pour aller dans cette direction, et puis la faire (ouais parce que ça serait con de s’arrêter juste avant le passage à l’action. Ca me fait penser aux fois où je vais chez le médecin et où je me sens mieux en sortant, alors je me dis que le traitement n’est pas nécessaire, et bizarrement ça met plus de temps à se soigner…).
Je vous embrasse les gonzes (c’est sorti tout seul, mode no censure, je suis indulgente avec moi même aujourd’hui).
Et je vous laisse car j’ai un festival qui m’appelle, je m’en vais me reconnecter à cette partie de moi politiquement incorrecte et déjantée que j’ai peut être un peu délaissé ces derniers temps. Rebeka warrior me voilà…
Much love ♡
Julie